C’est officiel Dark Vador, le méchant emblématique de la saga Star Wars, sera bel et bien de retour dans le prochain film de la franchise, Rogue One, spin off de Gareth Edward.
Un journaliste de Entertainment Weekly s’est prononcé au micro de l’émission américaine Good Morning America au sujet de Dark Vador. Le personnage devrait avoir une certaine importance au sein de l’intrigue, mais sa présence à l’écran ne sera pas trop longue.
“Dark Vador plane au dessus de l’intrigue, même quand il n’est pas à l’écran. Parce que le nouveau méchant, joué par Ben Mendelsohn, tente de satisfaire les souhaits de l’Empereur, et Vador est dans l’ombre, juste derrière lui.”
Dark Vador au meilleur de sa forme
Entertainment Weekly précise également que James Earl Jones prêtera de nouveau sa voix au personnage, à l’âge de 85ans, alors qu’il était déjà à l’époque de la première trilogie, la voix du méchant.
La présidente de LucasFilm, Kathleen Kennedy, s’est elle aussi étendue sur le sujet, affirmant que Dark Vador sera utilisé avec parcimonie mais à un moment clé de l’histoire, et qu’il brillera comme jamais. A cette époque, 19 ans après les événements de l‘Episode III, le seigneur Sith n’est pas encore la terreur que l’on connait, il est plus une légende qu’autre chose selon les termes du réalisateur Gareth Edwards.
“Au sein de la rébellion on en parle pas beaucoup , mais chez l’Empire c’est tout l’inverse. Il a le sentiment qu’un pouvoir, un sombre pouvoir, est à disposition de l’Empire et que si vous dépassez les limites, vous en subirez les conséquences. Dark Vador est présent dans la structure militaire, mais ne lui doit rien. Il ne répond à personne en fait, à part Palpatine.”
Ainsi Star Wars – Rogue One semble mettre en avant un Dark Vador badass et très impressionnant. La pre-production avait déjà lancé quelques rumeurs, affirmant que le Sith serait plus violent que jamais, des concepts arts l’auraient même mis en scène au milieu de cadavres écartelés. Un Dark Vador cruel et tyrannique dans Rogue One ? Réponse le 14 décembre.
