Le Voleur de foudre (2005) – « Tu as des pensées bien maléfiques pour une chèvre »
Percy se fait attaquer par des monstres. Il découvre que son père est Poséidon et qu’on l’accuse d’avoir volé un éclair.
C’est une efficace entrée en matière dans la mythologie grecque, on y (re)découvre plusieurs récits avec plaisir même s’il est conseillé de déjà s’y connaître pour appréhender toutes les subtilités. Les péripéties et les monstres affrontés s’enchaînent à un rythme effarant. On est d’accord que ça n’est pas un mouton à cinq pattes, mais on ressent bien l’influence et la correcte réutilisation des codes de Harry Potter qu’il met à la sauce mythologique profitablement.
Percy Jackson : Le Voleur de foudre – « Où est ma bière ? »
Percy, dyslexique et hyperactif, est attaqué par son professeur d’anglais qui s’est muée en furie. Il apprend conséquemment qu’il est le fils de Poséidon.
Si l’objectif principal d’un métrage est de divertir et d’être cocasse, le but est bel et bien effectué. Le livre fourmillait d’une profusion de péripéties épiques et de combats contre une myriade de créatures mythologiques, donc c’est une adaptation patente. De plus , le personnage de Perséphone est un paradigme d’ajout sagace. Néanmoins, il y aurait des choses à revoir, des personnages qui auraient pu s’avérer intéressants cinématographiquement et des facilités scénaristiques à souligner, mais je ne vais aucunement les citer, car j’ai une tendresse particulière pour cette œuvre.
Percy Jackson et les Olympiens – « Souvent, ce qui est petit et effrayant, se fait écraser »
Saison 1 – « Vous n’êtes pas morts, vous »
Un jeune garçon sillonne le pays pour retrouver l’Éclair primitif de Zeus et prouver son innocence pour ce larcin.
Le wokisme de Disney devient des plus risibles en faisant incarner des dieux grecs par des afro-américains et en se fichant des liens familiaux. Les tenues des membres de la colo furent davantage réussies dans l’adaptation cinématographique en étant martiales. Néanmoins, le scénario est assez conforme au livre et traitement sériel rime avec plus longue durée donc les réalisateurs ont pu retranscrire le personnage d’Arès, ce qui manquait terriblement sur son support filmique.