Arthur, malédiction – « Tu veux rejoindre le monde des Minimoys »

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Le jeu des jeunes acteurs est vraiment très approximatif, le népotisme étant passé par là. Arthur, malédiction compose avec des fausses notes, des fautes de goût et des aberrations déraisonnables.

Par exemple, un pèquenaud gueulard qui a dû souffrir d’une intoxication à force de se pourlécher ses dents excessivement noircies par le maquillage, une musique romantique à chaque fois que le héros et sa bien-aimée se regardent langoureusement, quelle jobarderie, qui est ce succédané de Maltazard qui nous fait l’honneur d’une apparition-éclair quid du type sur le toit, ils n’appelleraient pas – je sais pas, peut-être – la police ou encore un type qui a lâché une bombe lexicale au point de demander si cela appartiendrait à leur vocabulaire alors qu’il a seulement utilisé le mot « calvaire ».

De plus, la morale finale est stupéfiante, cette tuerie serait le fait de la drogue… et d’accros au cinéma.

Il n’arrive à captiver en mettant en valeur le corps de son atout charme, la dénuder tout en la laissant habillée. Les blagues les plus courtes sont les meilleurs mais celle-ci dure tout de même une heure et demie.