Disney et James Cameron peuvent être rassurés, la suite du film le plus rentable de l’histoire du cinéma a engrangé plus d’un milliard sept cents millions au box-office mondial.
Pour plus de confort, le maître du blockbuster a remis en cause la vitesse d’images : le film est en semi HFR. Le HFR (High Frame Rate) est une méthode d’enregistrement du film à hautes fréquences d’images, cela crée une extrême fluidité, surtout utilisé dans le sport, cela permet des bien voir les gestes rapides. Quelques films ont été tourné en HFR notamment la trilogie du Hobbit néanmoins, certains se plaignent de l’effet jeux vidéo qui en découle.
Pour remédier à ce problème, le réalisateur de Titanic propose de filmer seulement certains plans qui nécessitent plus de fluidité en HFR et garder une vitesse d’images plus classiques pour les scènes calmes. Le tout pour des images à couper le souffle un réalisme visuel jamais atteint jusqu’alors, 3H15 d’immersion cinématographique sur la planète bleue de Pandora.
L’histoire n’est pas en reste, monsieur Cameron a réuni une équipe des meilleurs scénaristes d’Hollywood pour écrire pas moins de 5 films en avance. On se retrouve dans Avatar 2 à une saga familiale, une relation père enfants face à l’horreur des envahisseurs humains qui reviennent. Jack sully est obligé de fuir la guerre avec sa famille et va devoir s’intégrer au nouveau peuple de l’eau. Ici les enfants éprouvent des difficultés d’assimilations, mais la mer arrive à émerveiller tout ce monde.
Les scènes d’action sont gigantesques, on notera des références à ses précédents films comme Terminator, Titanic, Abyss, Aliens, avec cette imagerie bleue, ces sages animaux marins et ces robots tueurs.
Maintenant c’est officiel, il y aura bien ces suites avec son lot de surprises, on évoque déjà l’idée de Na’vis criminels dignes des humains, les fans sont aux anges, vivement.