Après le succès du Mari de mon frère, les éditions Akata proposeront le manga Éclat(s) d’âme dès le mois de février 2018 !
Éclat(s) d’âme
Titre original : しまなみ誰そ彼
Titre traduit : Shimanami Tasogare
Auteur : KAMATANI Yûki
Éditeur français : Akata
Éditeur original : Shogakukan au Japon
Date de sortie : 22/02/2018
Nombre de tomes : 3 volumes au Japon
Statut : série en cours
Prix : 7,95 €
Synopsis :
« Deux jours avant les vacances d’été, je crois que… je suis mort ». C’est ce qu’a pensé Tasuku le jour où un de ses camarades de classe lui a piqué son smartphone, alors qu’il était en train de regarder un vidéo porno gay dessus. La rumeur s’est répandue comme une trainée de poudre. Tasuku pense alors à se suicider, ne pouvant supporter cette réalité dont il n’avait pas encore complètement conscience lui-même, mais aussi par peur du regard de la société. Pourtant, alors qu’il s’apprête à sauter dans le vide, il aperçoit, au loin, une mystérieuse silhouette de jeune femme qui le devance et… saute dans le vide ?! Intrigué, terrorisé, il s’élance vers l’endroit d’où elle a sauté. Il y découvre, stupéfait, que la jeune femme est encore en vie, et qu’elle est l’hôte d’une sorte de résidence associative, véritable safe space où se réunissent diverses personnes LGBT. De rencontre en rencontre, le jeune lycéen va apprendre à se connaître, à s’accepter, et trouver sa place dans le monde.
Sa réputation n’est plus a faire maintenant, Akata est une maison d’édition engagée. Connu en premier lieu par un choix percutant parmi les shojo, extravaguant par ses titres WTF, mais surtout dénonçant ou militant avec des titres que d’autres n’oseraient pas éditr. Aujourd’hui, l’éditeur limousin continue son combat aux côtés des LGBT, après le Mari de mon frère, véritable succès critique autant que commercial, il nous propose aujourd’hui Éclat(s) d’âme, le nouveau manga de KAMATANI Yûki. Connu pour son manga Nabari (édité chez Kazé), il nous délivre maintenant une œuvre beaucoup plus personnelle : puisque née biologiquement femme, il assume aujourd’hui publiquement d’être X-gender.