La voie du tablier Part 2 : Une découverte toujours aussi agréable !

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Nous vous avions présenté il y a quelques semaines les premiers épisodes de la saison 1 de La voie du tablier, disponible sur Netflix. Il y a peu, la deuxième partie de l’anime a été mise en ligne, pour notre plus grand bonheur.

la voie du tablier

« Après s’être retiré des affaires, Tatsu, un yakuza connu comme « le Dragon Immortel », refait surface avec sa légendaire férocité, dans la peau du parfait mari au foyer ! »

Des épisodes toujours aussi cocasses !

la voie du tablier

C’est avec joie que nous avons retrouvé Tatsu, notre homme au foyer préféré ! Les épisodes sont toujours constitués de petites sketchs mis les uns à la suite des autres. Et ces derniers sont dans la même lignée que la première partie, comique de situation au rendez-vous. En effet, notre ancien Yakuza se retrouve toujours dans des quiproquos comiques. Que ce soit dû à son allure de Yakuza ou alors à des retrouvailles avec d’anciens compagnons ou rivaux du crime, la fin du sketch n’est en général pas ce à quoi nous pourrions nous attendre.

Il est vraiment très agréable de voir la transition entre deux mondes bien opposés ainsi que des nouvelles priorités de notre personnage principal. Effectivement, plusieurs « flash-back » nous sont montrés lorsqu’il y a méprise sur les actes ou pensées de Tatsu. Et lorsque la réalité nous apparaît, il est impossible de rester de marbre. Même si vous n’avez pas le rire facile, un rictus fera son apparition, on vous le garantit.

De plus, Tatsu semble mettre beaucoup d’entrain à réaliser les tâches de la vie quotidienne. Que ce soit la cuisine, le ménage ou même les courses, il est toujours au meilleur de sa forme pour réaliser les missions qui lui incombent. Et nous devons avouer que cela pourrait également nous motiver à en faire de même chez nous. Avoir autant d’ardeur pour ce genre de besognes nous rend admiratif. Et bien que les personnages soient les mêmes, les sketchs restent différents. En effet, aucune scène ne ressemble à une autre et ce n’est pas pour nous déplaire. Cependant, il ne semble pas y avoir de ligne directrice pour le scénario, il s’agit juste de petites scènes mises bout à bout.

Une opposition appréciable !

la voie du tablier

De plus, il se trouve que Tatsu est un homme généreux puisqu’il n’est pas radin sur les conseils. En effet, même avec ces anciens rivaux, Tatsu leur donne des techniques afin de se perfectionner. Et cela aussi bien en cuisine, pour faire leur courses ou simplement pour les aider à améliorer leur vie. Cette générosité permet de casser cette image de dur à cuire sanguinaire qui semble lui coller à la peau. De plus, la relation qu’il entretient avec sa femme et sa belle famille est elle aussi comique. Miku, la femme de Tatsu a parfois plus une allure de démon que son mari. Cette inversion des rôles rajoute un peu plus de comique dans une série qui n’en manque pas.

On retrouve également un côté « kawai » qui ne manque pas de nous séduire. En effet, l’opposition entre l’opening et l’ambiance de l’anime est là aussi très appréciable. L’opening, « Shufu no Michi », réalisé par Uchikubi Gokumon Doukoukai, a un côté rock très accrocheur qui ne manque pas de réveiller les plus endormis d’entre nous. Son ton est très décalé par rapport à certaines scènes de l’anime. Celles-ci, que nous pouvons qualifier de « mignonnes », contredisent le côté « Yakuza » de Tatsu. Et c’est également le cas pour la plupart des anciens yakuzas qui apparaissent dans la série. Ils ont tous un côté tendre qui ne cesse de nous surprendre.

Enfin, du côté de l’animation, bien que cela nous ait « perturbé » dans la première partie, nous nous y sommes fait assez rapidement. Il n’a donc pas été compliqué d’apprécier cette seconde partie puisque nous savions à quoi nous attendre. Et comme nous l’avions énoncé dans notre premier article, l’animation est bien accordée avec le scénario.

Et vous, que pensez-vous de cette série originale signée Netflix ? Avez-vous réussi à vous faire à cette animation quelques peu différentes de celle dont nous avons l’habitude ?