Elite, une des séries Netflix les plus populaires fait son retour avec de nouveaux étudiants, une nouvelle victime et une enquête policière.
Ariadna (Carla Díaz), une des nouvelles étudiantes de Las Encinas est victime d’une agression, cette fois au Club del Lago. Il s’agit de l’un des enfants du nouveau directeur, Benjamín Blanco (Diego Martín), qui arrive pour ramener l’ordre et la discipline dans l’école. Une enquête policière va tenter de faire la lumière sur l’incident tandis que nous découvrons de nouvelles passions et des conflits parmi les élèves de cette école.
L’un des problèmes de cette quatrième saison n’est autre que l’intrigue principale qui ressemble de très près aux précédentes et qui est donc très prévisible et répétitive : un nouvel incident, avec sa victime correspondante, concentre les mouvements de tous les personnages.
Il faut reconnaître que la fiction tente d’aborder des questions intéressantes telles que la maltraitance des enfants, le consentement en matière de relations sexuelles ou la normalisation et la visibilité des relations LGTBI. Le problème réside dans le manque de profondeur avec lequel la série aborde ces sujets qui semblent n’être qu’une excuse pour « mélanger » certains personnages avec d’autres ou pour inclure une intrigue secondaire peu crédible.
CE QUI VOUS ACCROCHERA
Les points forts de la saison 4 d’Élite sont une fois de plus la conception des costumes, le travail de coiffure et de maquillage, sa photographie soignée, et une bande-son des plus actuelles avec notamment « Bagdad » de la chanteuse espagnole Rosalía.
En conclusion, cette quatrième saison d’ELITE repose sur la même structure que dans les volets précédents. Elle se base une nouvelle fois sur la découverte d’une victime et son enquête policière progressive ; des conflits similaires et beaucoup de scènes de sexe. La même chose que d’habitude mais moins captivant dû aux nombreuses redondances.
Bande-annonce de la saison 4 d’Elite