Top 20 des films qu’il ne fallait pas rater en 2016 !

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2016 nous aura marqué par ses nombreuses grosses productions telle que Independance Day : Resurgence ou encore Batman vs Superman. Mais n’oublions pas également les films qui ont su nous faire redécouvrir le cinéma, ou des fois nous faire découvrir une nouvelle facette que l’on ignorait. Voici la sélection JustFocus des 20 films qu’il ne fallait pas rater cette année. La liste est évidement limitée, et ne comprend pas tous les films qu’il fallait absolument voir ces 12 derniers mois, mais seulement les plus pertinents.

 

Les Huit Salopards

Sorti le 6 janvier 2016, Les Huit Salopards est le dernier film en date de Quentin Tarantino. Avec au casting Samuel L. Jackson, Kurt Russel, Tim Roth et Jennifer Jason Leigh, le réalisateur poursuit son exploration du western dans ce huis-clos sanglant. John Ruth, un chasseur de primes, conduit sa prisonnière, Daisy Domergue, à la potence lorsqu’il se voit contraint par la neige de s’arrêter dans une auberge. Enfermés au côté de six autres personnages, la parole de chacun va être remise en question.

Dans un film de 2h48, Tarantino réussit à associer parfaitement le huis-clos dans sa forme théâtrale et la technique du western. Le réalisateur nous ressert ici une dose de violence crue derrière un travail monstrueux sur les personnages et l’espace filmique, dans un retour aux sources nous rappelant Reservoir Dogs (1992).

Notre critique du film

 

Le Garçon et la Bête

Réalisé par Mamoru Hosoda et sorti le 13 janvier, le sixième long-métrage d’animation du réalisateur japonais raconte l’histoire de Ren, un jeune garçon solitaire, se perdant accidentellement dans le Monde des Bêtes. Dans cet univers étranger, il fait la rencontre de Kumatetsu qui le choisira comme disciple pour prouver ses capacités d’enseignement.

Digne composition dans la lignée des films de Mamoru Hosoda, Le Garçon et la Bête nous a conquis. La thématique de la famille se retrouve à nouveau au cœur d’un film d’Hosoda dans l’idée d’une émancipation de l’élève par rapport à son maître, grâce à laquelle leur relation prendra une dimension bien plus forte. Sans surprise, le réalisateur signe un succès de plus dans le monde de l’animation !

 

Spotlight

Le film Spotlight, Oscar du Meilleur film et du Meilleur scénario original en 2016, est un biopic sorti le 27 janvier. On y retrouve Michael Keaton, Rachel McAdams et Mark Ruffalo. Le film raconte l’histoire vraie du journal américain Boston Globe, qui a réussi à percer à jour un scandale au sein de l’Église catholique. Confrontée au silence des victimes, aux menaces de l’Église et à la pression de la hiérarchie, l’équipe de journalistes va se frayer un chemin pour découvrir ce qu’il s’est réellement passé.

Fidèle aux faits relatés par le Boston Globe, le film étale le temps de manière à ce que le spectateur le ressente et le comprenne. Tom McCarthy unit un sujet potentiellement polémique avec une forme cinématographique adaptée et maîtrisée. En somme, on ne va pas voir Spotlight pour ce qu’il montre, mais ce qu’il raconte.

Notre critique du film

 

Chocolat

Omar Sy s’est fait remarqué dès le 3 février dans le dernier film de Roschdy Zem. Aux côtés de James Thiérrée, il incarne le premier artiste noir de la scène française, le clown Chocolat. Avec son comparse Footit, il va faire le tour du beau Paris, du cirque au théâtre, avant que le succès ne lui soit nocif.

Ce biopic nous offre l’envers du décor des métiers de la scène à la toute fin du 19ème siècle, au même moment que la naissance du cinéma. Abordant le problème du racisme de l’époque, Chocolat reste un film haut en couleurs malgré l’ambiance parfois sombre qui plane autour des personnages. Roschdy Zem nous montre ainsi un tournant dans le monde du théâtre à Paris dans un film touchant et envoûtant.

 

Anomalisa

Anomalisa est un long métrage de Charlie Kaufman (scénariste derrière Eternal Sunshine of the Spotless Mind) et Duke Johnson sorti le 3 février. Les deux réalisateurs tentent toujours de faire leurs preuves derrière la caméra puisqu’il s’agit de leur deuxième (Kaufman) et premier (Johnson) long-métrage. Le film raconte l’histoire de Michael, enfermé dans la banalité de sa vie, qui va faire une rencontre qui risque de bouleverser son existence lors d’un voyage d’affaire.

Avec Anomalisa, le duo à la réalisation nous a prouvé qu’il était capable de mener un long métrage tout en apportant leur patte personnelle. Le choix du film d’animation rentre parfaitement dans ce monde onirique qui nous laisse un arrière gout de vécu. On se retrouve face à Michael qui remet en question toute sa vie durant une heure et demi, en nous plongeant à ses côtés pour ressentir l’intensité du moment.

Notre critique du film

 

Deadpool

Certainement l’un des films les plus attendus de ce début d’année, Deadpool s’est vu débarquer sur nos écrans le 10 février avec tout le sarcasme et les bastons qu’on attendait. Ryan Reynolds signe enfin le film qu’il voulait réaliser depuis plusieurs années. L’histoire suit Wade Wilson qui se voit conférer une capacité de guérison hors norme, à la suite d’une expérimentation qui a mal tourné. Bien décidé de se venger du responsable, il utilisera ses capacités pour le retrouver.

Après la piètre apparition du personnage iconique dans X-Men Origins Wolverine, Reynolds était décidé à rattraper cette erreur en adaptant comme il se devait le mercenaire rouge et noir. Le pari est un succès. Fidèle à l’univers du comics, l’humour ravageur du personnage ne cesse de percer l’écran pour s’adresser directement à nous.  

Notre critique du film 

 

Avé César

Dernier film des frères Coen en date, Ave Cesar est sorti le 17 février dans nos salles. Comme souvent, le duo américain s’offre un casting de rêve : Georges Clooney, Channing Tatum, Josh Brolin ou encore Scarlett Johansson et j’en passe. Le film s’étalant sur une journée suit la vie d’Eddie Mannix, grand patron d’un studio hollywoodien. La dite journée va progressivement tourner au drame lorsqu’un des acteurs vedettes disparaît mystérieusement du plateau de tournage.

Joel et Ethan Coen signe cette année un film qui leur reste fidèle. Des situations improbables où la solution l’est encore plus, le tout emballé dans l’ambiance du cinéma des années 40. Tout y est, la comédie musicale, le policier, le western, la romance…

 

The Revenant

Après le succès mondial de son précédent film Birdman (Oscar du Meilleur film et du Meilleur réalisateur), Iñárritu sortait son nouveau film le 24 février. Cette fois-ci, le réalisateur mexicain s’est offert Leonardo DiCaprio en tête d’affiche. Iñárritu décide ici de nous raconter l’histoire vraie du trapeur Hugh Glass laissé pour mort après avoir été attaqué par un ours. Glass, réveillé par la vengeance, refuse de mourir pour retrouver l’assassin de son fils.

En dehors de la performance hors du commun de Leonardo DiCaprio (premier Oscar de sa carrière !!!), le film décide de prendre avec lui son spectateur du début à la fin. Chaque plan du film est millimétré, nous plongeant pleinement dans le grand nord américain du 19ème siècle. Ce n’est plus une histoire de cow-boy et d’indien, mais bien de cet homme qui a affronté vents et marrées par conviction.

Notre critique du film

 

Hardcore Henry

Amateur de jeu vidéo, on a tous déjà rêvé de voir un film adapté de Call of Duty ou Battlefield. Harcore Henry réalise notre fantasme secret avec ce long métrage filmé à la première personne. Sorti le 13 avril, le film est purement et simplement de la testostérone sur pellicule. Dans le film, vous incarnez Henry. Devenu un pseudo-cyborg à la suite d’un grave accident, votre femme vous réveille alors que des mercenaires vous attaquent pour la domination du monde. Vous êtes alors livré à vous-même dans un Moscou hostile, où tout le monde veut votre peau…

Pour la première fois sur grand écran, on se retrouve dans un long-métrage filmé entièrement à la première personne, nous faisant vivre une expérience unique. Même le scénario travaille quelque chose de profond dans son développement, rendant le film encore plus hors du commun.

 

Money Monster

Georges Clooney est réapparu une deuxième fois au cinéma cette année avec Money Monster. Sorti le 12 mai, c’est le quatrième film où Jodie Foster est derrière la caméra. Elle s’offre de nouveau un casting de rêve avec Georges Clooney et Julia Roberts en tête d’affiche. Le long-métrage suit un présentateur TV, gourou de la finance de Wall Street. Un spectateur mécontent des conseils du présentateur en question décide de le prendre en otage pendant un direct, devant des millions de spectateurs.

En dehors du sujet économique qui a touché plusieurs milliers d’américains durant ces dernières années, le film touche également à la sensibilité du public détaché. Il nous tient durant cette heure et demi de tension simplement par le doigt appuyé sur le détonateur prêt à tout faire basculer.

 

The Neon Demon

Nicolas Wending Refn faisait lui aussi son grand retour au cinéma avec un OVNI de plus à sa filmographie. The Neon Demon sortait le 8 juin et marquait à jamais le festival de Cannes. A l’affiche, Elle Fanning (Super 8, Babel), Jena Malone (Inherent Vice, Donnie Darko) ainsi que Keanu Reeves (Matrix, John Wick). Refn, qui vient tout droit de la publicité, voulait dénoncer ce monde sombre et sans pitié. Dans son film, on suit une jeune fille débarquant à Hollywood dans le seul but de devenir mannequin. Elle y parviendra facilement grâce à sa beauté innée, mais fera rapidement l’objet de jalousie de la part d’autres jeunes filles dans le milieu.

Refn réussit son pari de nous plonger dans cet univers pervers et sans loi de la mode. Tout est un prétexte pour devenir la nouvelle figure de telle ou telle marque, et le réalisateur nous traduit cela par un monde cauchemardesque et pervers à souhait, montrant de quoi est capable une nouvelle figure pour garder sa place. 

Notre critique du film

 

Le monde de Dory

Changeons d’air et dirigeons-nous vers les fonds marins avec Le Monde de Dory sorti le 22 juin. Walt Disney a enfin sorti le spin-off tant attendu du Monde de Nemo. À la réalisation, on retrouvait Andrew Stanton, qui était également derrière Vice Versa et Toy Story 4, ainsi que Angus MacLane. Cette fois-ci, c’est Dory qui est au centre du film, et qui travers à son tour l’océan pour retrouver sa famille.

Le pari de faire un spin-off du Monde de Nemo n’était pas mince affaire. Le film aurait rapidement pu devenir une pâle copie de son prédécesseur et ne pas obtenir le même intérêt que ce dernier. Mais on sait faire confiance aux studio Disney Pixar et ils ont évidement réussi à nous concocter un petit bijou de l’animation. Le Monde de Dory restera parmi l’un des derniers films de Pixar à être une adaptation d’un univers déjà existant chez les studios.

Notre critique du film

 

Dernier train pour Busan

Direction la Corée du Sud avec Dernier train pour Busan sorti le 17 août. Réalisé par le talentueux Sang-Ho Yeon, le film est apparu cette année au festival de Cannes. Il raconte l’histoire de plusieurs personnes bloquées dans un train lors d’une attaque de zombies.

Si le long-métrage parait, à première vue, un simple film de zombies, il laisse tout de même une sacrée marque dans nos esprits après son visionnage. Faisant office de suite au film d’animation Seoul Station, qui avait un aspect beaucoup plus sombre et qui, selon le réalisateur, avait un désir de critiquer la société assez puissant, Dernier Train pour Busan reste dans cette lignée tout en perdant son côté cauchemardesque et sombre. Sang-Ho Yeon réussit son projet pour un premier film en prise de vue réelle.

 

The Beatles : Eight Days a Week

Peu d’entre nous ont pu profiter de cette occasion, mais le documentaire de Ron Howard sur le groupe de rock le plus connu au monde sortait dans les cinémas Gaumont-Pathé le 15 septembre. The Beatles : Eight Days a Week retrace l’histoire de John Lennon, Paul McCartney, Georges Harrison et Ringo Starr durant les débuts du célèbre et incontournable groupe, The Beatles. On les suit dans la période de 1962 à 1966, leur apogée.

Ron Howard signe donc son premier documentaire et réussit largement à nous séduire devant les images d’archives remastérisées du groupe anglais. Au programme, deux heures d’histoire narrées par plusieurs personnes dont Paul McCartney et Ringo Starr eux-même, et le tout ponctué par les images remastérisées du concert mythique du Shea Stadium où 56 000 personnes s’époumonaient dans le stade, le 15 août 1965.

Notre critique du film

 

Juste la fin du monde

Un autre réalisateur nous faisait le plaisir de revenir sur les grands écran en 2016 : Xavier Dolan avec son tout dernier film sorti le 21 septembre, Juste la Fin du Monde. Célèbre pour la virtuosité de ses films et son jeune âge, Xavier Dolan a su une fois de plus nous impressionner en racontant l’histoire d’un écrivain revenant dans sa famille après 12 ans d’absence. Gaspard Ulliel nous faisait l’honneur d’être en tête d’affiche accompagné par Léa Seydoux, Vincent Cassel, Marion Cotillard et Nathalie Baye.

Dans ses films, Dolan a toujours trouvé le moyen de nous faire ressentir les choses comme elles sont. Juste la Fin du Monde ne fait pas exception et vient se rajouter à sa lignée de films à succès. Porté par une brochette de très bons acteurs, le long-métrage retrace l’histoire de cette famille torturée par les non-dits.

Notre critique du film

 

La fille du train

La Fille du Train est sorti le 26 octobre dans nos salles, et est un film réalisé par Tate Taylor. Adapté du best-seller de Paula Hawkins, ce thriller frénétique vous embarque vitesse grand V dans l’affaire de la disparition d’une femme. En tête d’affiche, Emily Blunt et Haley Bennet qui nous emmène dans ce thriller brumeux.

On se retrouve donc face à un film semblable au Gone Girl de Fincher (Fight Club, Social Network) ou Avant d’Aller Dormir, film psychologique où le discours du personnage principal sera remis en question à mainte reprise. Emily Blunt nous fait vivre ce perpétuel doute avec une finesse hors du commun.

 

Mademoiselle

Depuis Snowpiercer, nous attendions le grand retour du réalisateur aujourd’hui visionnaire, Park Chan Wook. Le 2 novembre, il sortait son tout nouveau chef-d’oeuvre : Mademoiselle. Après 3 ans d’absence, le réalisateur coréen revient sur les grands écrans avec un autre film dans la lignée des précédents. Le film suit Sokee, pendant la colonisation japonaise, qui doit servir une riche japonaise. Mais la jeune servante a d’autres plans pour la bourgeoise.

On se retrouve alors une fois de plus face à une narration qui sera progressivement déboulonnée pour qu’on nous laisse nous rendre compte que tout n’est que mensonge. Interprété par une file d’acteurs plus talentueux les uns que les autres, le film nous plonge dans cette ambiance isolée de la Seconde Guerre Mondiale coté asiatique pour rendre le film encore plus angoissant.

Notre critique du film

 

Sausage Party

Phénomène attendu depuis quelques mois, Sausage Party a su faire une entrée fracassante le 30 novembre dans nos salles. Le dernier OVNI de Seth Rogen a en effet fait l’objet de plusieurs polémiques au sein des opinions de chacun. Dirigés par Conrad Vernon et Greg Tiernan, les personnages ont pris les voix de Seth Rogen, Kristen Wiig, Nick Kroll, Micheal Cera ou encore Edward Norton. Le film d’animation raconte l’histoire de saucisses, de pains et autres produits d’un super marché, persuadés qu’une fois achetés, ils seront emmenés vers un monde meilleur… Mais les points de vue diffèrent.

Malgré les dites polémiques qui ne sont que futilités, le film prend le genre qu’a créé Pixar avec Toy Story, pour en faire un film pour adulte où la pudeur n’est qu’un mot sans son sens. Seth Rogen nous embarque donc dans un monde loufoque, du point de vue de ces aliments et ces produits qui passent normalement les caisses chaque jour sans broncher.

Notre critique du film

 

Premier Contact

Denis Villeneuve faisait remarquer son nom après Prisoners ou encore Sicario et prochainement pour la suite de Blade Runner. On le retrouve cette année aux commandes de Premier Contact sorti le 7 décembre. Devant la caméra, Amy Adams accompagnée de Jeremy Renner (Avengers) et de Forest Witaker (Star Wars : Rogue One). Le film suit la linguiste Louise Banks réquisitionnée par l’armée pour rentrer en communication avec la première forme de vie extraterrestre que l’humanité connaisse.

On manque grandement de films de cette finesse. Villeneuve signe cette année un chef d’œuvre de la science-fiction qui fera parler de lui encore quelques années. Un scénario ficelé à merveille pour une réalisation impeccable, ce film frôle la perfection.

Notre critique du film

 


En bonus, nous nous sommes permis de rajouter deux films qui n’ont pas eu l’honneur d’autant faire parler d’eux cette année, mais qui méritent tout de même notre attention.

 

Midnight Special

Midnight Special faisait son apparition le 2 mars dans nos salles. Peu médiatisé en France, il a tout de même réussi à nous séduire. Le film suit Roy, père de famille près à tout pour sauver le destin de son fils, qui risque de changer la face du monde. À l’affiche, Michael Shannon (Man of Steel), Joel Edgerton (Stricly Criminal) et le jeune Adam Driver (Star Wars : Le Réveil de la Force).

Jeff Nichols nous a impressionné pour son film tant il est unique et sobre. On se retrouve face à un nouveau genre de science-fiction où les explosions façon Michael Bay n’ont pas leur place. Les films où l’on apprécie découvrir chaque minute se font de plus en plus rare, et Midnight Special nous a rappelé que ce style n’était pas mort.

Notre critique du film

 

Swiss Army Man

Sans aucune sortie en France, Swiss Army Man a su faire un peu de bruit après son succès au festival Sundance l’an passé, sans toutefois obtenir la place qui lui revient. Premier long-métrage du duo Daniel’s, le film raconte l’histoire de Hank, naufragé d’une tempête, qui fait la rencontre d’un cadavre avec qui il va nouer une amitié hors du commun. Le duo jusqu’alors inconnu s’offre les acteurs Daniel Radcliffe (Harry Potter) et Paul Dano (Little Miss Sunshine) en tête d’affiche, et ils nous ont absolument conquis.

Même si le film aborde des thèmes particulièrement grotesques (flatulence et excréments), il nous fait découvrir ce qu’est véritablement une amitié, et jusqu’où cette amitié peut aller pour braver le mal comme le bien. Le duo Dano/Radcliffe fonctionne parfaitement dans cet univers loufoque et profond à la fois.

Notre critique du film

 

L’année 2016 touche donc à sa fin avec de nombreux films qui sont ou deviendront rapidement incontournables. Cette liste ne contient évidement pas tous les films qu’il ne fallait pas manquer cette année, mais elle contient au moins notre sélection des priorités.